Qui ne s’est jamais demandé ce qu’il emmènerait sur une île déserte ?
Pour nous, ce serait du vin. Voici nos choix :
Alexandra
- Meursault Sous la Velle, Anne Boisson. En souvenir de nos apéros parisiens de blinis & saumon fumé.
- Condrieu, Gangloff. Un des meilleurs accords de ma vie sur la blanquette de veau au pamplemousse, recette de Pierre Gagnaire.
- Quartz, Vaccelli. Sur un bar de ligne grillé (note : ne pas être trop nombreux pour partager la bouteille).
- Château Châlon, Macle. Parce que le poulet au vin jaune & morilles est mon plat préféré.
- Domaine Tempier. Pour sentir l’odeur de la garrigue.
- Gevrey-Chambertin Les Justices 2014, Lignier. Du Pinot Noir, option velours.
- Grand Renouil 2015, Canon-Fronsac. Le bon Bordeaux rassurant, anti-coups de blues.
- Cheval Blanc 2001, 1er Grand Cru Saint-Emilion. Pour le luxe et parce que c’est mon chouchou.
- Sylla, Borie de Maurel. Génial avec de l’agneau confit.
- Xéres : Olo Rosso ou Palo Cortado. Pour les longues soirées au coin du feu.
Thomas
- La Levée 2019, Alexandre Bain. Si c’est une Pierre Précieuse, je prends aussi !
- Gombaude-Guillot 2015, Cuvée Auguste, mais le 1995 est magique en ce moment.
- Nuits 1er cru les « Saint-Georges », Thibault Liger-Belair pour son infinie délicatesse. A l’image de toute sa gamme.
- Barbarine, Gangloff même si le Condrieu, sur une blanquette aux agrumes quand même….
- Chassagne-Montrachet, 1er cru Dents de chien, Morey-Coffinet. Ceci-dit, une Romanée, un Cailleret ou une Pucelle iraient aussi parfaitement ! Mais à Chassagne le « Clos des Murées » de Fontaine-Gagnard c’est quelque chose aussi…
- Sylla 1994, 1995 ou 2003, Borie de Maurel ou alors Maxime 2002 ou encore Belle de Nuit 2001 !
- Abbaye road 2018, Marc Delienne, même si Maurice est un grand chouchou.
- Côte Rôtie « La Comtesse en Côte blonde » 2015, Christophe Pichon
- Vent d’ange 2018, Thomas Pico. La gourmandise de Chablis.
- Pour le côté bouteille « prestige », j’hésite entre un Rayas 2007, un Lafleur 98 ou un Chambertin 99, domaine Armand Rousseau.